En mars 2020, tout était prêt pour la création d’entreprise d’Azedine Boukhiar sous enseigne Ecolave, au Havre. Malgré la crise sanitaire et les difficultés rencontrées, Azedine a tenu bon et a su calibrer au mieux ses offres, notamment grâce aux prestations de smart repair. Aujourd’hui, après 3 ans d’activité, son travail a porté ses fruits, il a développé et fidélisé sa clientèle.
Où en êtes-vous après 3 ans d’activité ?
Aujourd’hui, je suis satisfait de mes résultats commerciaux. Le démarrage a été très compliqué, je devais ouvrir la semaine où le confinement a été annoncé ! Mais il fallait quand même aller de l’avant. Avec l’aide de mon franchiseur, nous avons décalé les échéances et j’ai réellement lancé mon activité en juillet.
Trois ans après, j’ai réussi à fidéliser une clientèle variée, en misant sur la qualité et la diversité des prestations que je propose.
Comment évolue la structure de votre clientèle ?
En 2020, les professionnels étaient tous au ralenti, j’ai donc choisi de me focaliser sur la clientèle de particuliers. Au bout d’un an, j’ai élargi aux entreprises gestionnaires de flottes automobiles et le bouche-à-oreille a bien fonctionné.
Enfin depuis 2022, je travaille sur les concessionnaires. Mon secteur géographique est hyper-concurrentiel et les concessions avaient des habitudes bien ancrées. J’ai axé mon offre sur le smart-repair : au-delà du lavage, je propose des prestations haut-de-gamme, notamment de protection de carrosserie. Et ça marche !
Quels conseils donneriez-vous à un futur franchisé ?
Il est important de prendre du recul, sans se décourager. Les deux premières années, le moral n’était pas toujours au top, mais quand on persévère, on est récompensé !
Je conseille de bien analyser sa clientèle pour lui offrir le bon service au bon prix. Le concept Ecolave permet de s’adapter car il comprend de nombreuses prestations, pour des véhicules diversifiés, du camping-car au poids lourd ou à la moto de collection… Ce sont autant d’opportunités de développement pour nos activités.